Appel de 158 militants ouvriers et élus,

NON À LA DICTATURE DE LA “TROÏKA”
  (FMI, BCE, UNION EUROPÉENNE)
  NON AU PLAN EUROPLUS
   NON À LA DICTATURE DES DÉFICITS

Pour sauver le système capitaliste, le Fonds monétaire international (FMI), la Banque centrale européenne (BCE) et l’Union européenne prétendent imposer à tous les peuples et à la classe ouvrière un plan d’austérité d’une brutalité sans précédent.

Que ce soit en Grèce ou au Portugal, la troïka impose aux gouvernements-qui l’acceptent-la baisse des salaires, la liquidation de toutes les conquêtes sociales et brade au secteur privé toutes les entreprises publiques et nationalisées.

Face à cette politique, dans toute l’Europe, les travailleurs résistent, n’acceptent pas et combattent pour préserver leurs conquêtes, comme l’a démontré le mouvement massif des travailleurs en France pour s’opposer à la réforme des retraites.

En France, à la demande de l’Union européenne, le gouvernement tente d’imposer le plan Europlus- que ce soit par la constitutionnalisation de la rigueur ou par tout autre moyen-, plan Europlus qui prévoit, entre autres, des milliers de licenciements et de suppressions de postes, le blocage des salaires, la généralisation de la précarité, en particulier de la jeunesse, la liquidation des libertés communales et de nouvelles privatisations.
Pour mettre en œuvre cette politique réactionnaire, en France comme dans le monde entier, les gouvernements cherchent à associer les organisations du mouvement ouvrier. En Espagne, ils ont imposé un pacte social.

Les soussignés observent qu’en Tunisie, lorsqu’ils ont renversé la dictature de Ben Ali, les travailleurs ont su retrouver les voies de l’organisation syndicale, l’UGTT (renforcée, depuis, de 150 000 nouveaux adhérents, en particulier les jeunes) pour exiger la satisfaction de leurs revendications et le respect de la démocratie.
Les soussignés s’adressent à tous les travailleurs,militants du mouvement ouvrier et démocrates.


Il n’est pas possible d’accepter la politique que veut imposer la « troïka » (FMI- BCEUE). Pour aider à la résistance et préparer les combats inévitables à venir, les signataires appellent tous les travailleurs et démocrates et leurs organisations à se rassembler au delà de la diversité de leurs engagements.

Il revient au mouvement ouvrier de refuser le rôle que lui assignent les institutions internationales (FMI,BCE,UE) et les gouvernements.
Il revient au mouvement ouvrier d’organiser la résistance pour défendre les intérêts des travailleurs mais aussi les conquêtes démocratiques et les acquis de la civilisation.
Il revient au mouvement ouvrier de s’unir au-delà des divergences compréhensibles pour refuser les diktats de l’Union européenne.

Sur ces bases, et face à la soumission des partis politiques liés à l’Union européenne, il revient aux travailleurs et aux militants qui partagent ces objectifs de se regrouper.
C’est pourquoi les soussignés proposent d’organiser une conférence nationale de militants afin d’échanger nos points de vue et de discuter des moyens à mettre en œuvre pour défendre l’indépendance de nos organisations, notamment à l’égard des gouvernements, pour faire échec à tous les plans antisociaux préparés par l’Union européenne.


Pour tout contact :

  appel2juillet@gmail.com

  Michel Allain : 14, rue Émile Zola, appt 215, 92600 Asnières-sur-Seine-Philippe Selva : 14, rue de la Boétie, 91210 Draveil

PREMIERS SIGNATAIRES
Michel Allain, syndicaliste équipement (92) ; José Alvarez, syndicaliste construction (75) ; Maria Alves, syndicaliste métallurgie (39) ; Xavier Amor, syndicaliste métallurgie (93) ; Richard André, syndicaliste bois (71) ; Dominique Arnaudies, syndicaliste télécommunicant (75) ; Jacques Aurigny, syndicaliste Education nationale (75) ; Myriam Bakowski, syndicaliste postière (47) ; Cendrine Ballon, syndicaliste services publics (86) ; Jacky Bara, syndicaliste (79) ; Paul Barbier, syndicaliste enseignement (49) ; Thierry Barbier, syndicaliste santé (71) ; Jean Bazelle, maire de Lascelle, ancien syndicaliste action sociale (15) ; Christophe Benoit, syndicaliste enseignant (34) ; Nicole Bernard, syndicaliste organismes sociaux (75) ; Sylvain Bernard, syndicaliste postier (93) ; Aurélien Bernier, auteur (86) ; Jacques Berthault, syndicaliste santé (39) ; Pierre Besse, syndicaliste cheminot (75) ; Denis Bézirard, syndicaliste agro-alimentaire (76) ; Jean-Simon Bitter, syndicaliste assurances (93) ; Serge Bloch, syndicaliste agro-alimentaire (67) ; Jean-Vincent Boudou, syndicaliste (15) ; Yves Bourdin, syndicaliste retraité métallurgie (85) ; Alain Boutareaud, syndicaliste Finances publiques (33) ; Fabrice Brucker, syndicaliste Équipement (07) ; Marc Buard, syndicaliste services publics (93) ; Raphael Cacioppola, syndicaliste métallurgie (69) ; Bruno Cailletaux, maire adjoint (44) ; Rémi Candelier, syndicaliste enseignant (76) ; Mireille Carrot, syndicaliste santé (42) ; Patrick Catrix, syndicaliste cheminot (75) ; Daniel Chalier, syndicaliste santé (63) ; Philippe Chamek, syndicaliste postier (93) ; Jean-François Chazerans, syndicaliste Éducation nationale (86) ; Jocelyn Clodine-Florent, syndicaliste postier (75) ; Pascal Costarella, syndicaliste enseignement (38) ; Olivier Crammer, syndicaliste Éducation nationale (59) ; Jean-Paul Crouzet, syndicaliste enseignement (69) ; Marise Dantin, syndicaliste hospitalier (75) ; Alain Davanture, syndicaliste bois-construction (71) ; Christian De Vito, syndicaliste commerce (13) ; Clarisse Delalondre, syndicaliste énergie (92) ; Jean-Michel Delaye, syndicaliste territoriaux (67) ; Cécile Delecray, syndicaliste enseignante (26) ; Claire Delore, syndicaliste santé (37) ; Gilles Denosjean, syndicaliste enseignement (71) ; Aline Dotto, syndicaliste hospitalière (38) ; Christian Duffy, syndicaliste services publics (75) ; Didier Dunant, syndicaliste hospitalier (75) ; Francis Durand, syndicaliste (74) ; Daniel Dutheil, syndicaliste hospitalier (92) ; Patrick Dutto, syndicaliste métallurgie (64) ; Gérard Euzenot, syndicaliste recherche (13) ; Christian Eyschen, syndicaliste, responsable mutualiste, libre penseur (92) ; Gilbert Faraci, syndicaliste Défense (83) ; Marie- Christine Fararik, syndicaliste santé (75) ; Salah Ferkoune, syndicaliste chimie (69) ; Didier Ferron, syndicaliste postier (86) ; Gérard Fijalek, syndicaliste métallurgie (30) ; Alexandra Fiquet, syndicaliste territoriaux (86) ; Catherine Fléchard, syndicaliste énergie (75) ; Christophe Fonte, syndicaliste recherche publique (54) ; Didier Fouché, maire de Soulitré, ancien syndicaliste SNCF (72) ; Gérald Fromager, syndicaliste (02) ; Didier Gadéa, syndicaliste viticulteur (34) ; Michel Gannereau, syndicaliste Équipement (49) ; Claude Gatard, syndicaliste cheminot (91) ; Gabriel Gaudy, syndicaliste (75) ; Patrick Gauthier, syndicaliste Équipement (22) ; Christophe Gentile, syndicaliste travailleurs de l’État (83) ; Marc Georges, syndicaliste (74) ; Bernard Giusti, syndicaliste hospitalier (75) ; Orlando Gomes, syndicaliste métallurgie (39) ; François Grazza, syndicaliste cheminot (75) ; Gérard Gressot, syndicaliste métallurgie (69) ; Jean-Louis Guérin, syndicaliste docker (35) ; Franck Guilbert, syndicaliste spectacle (75) ; Yacine Hadj-Hamou, syndicaliste fonctionnaire (31) ; Patrick Hebert, syndicaliste (44) ; Lucette Hohmann, syndicaliste textile (67) ; Daniel Jeannin, maire de Montenois, ancien syndicaliste automobile (25) ; Claude Jenet, syndicaliste (84) ; Daniel Juret, syndicaliste hospitalier (49) ; Jacques Lafouge, humaniste libre penseur ; Denis Langlet, syndicaliste métallurgie (78) ; Gilles Larrieu, syndicaliste métallurgie (64) ; Jacques Le Beuvant, syndicaliste Education nationale (29) ; James Le Cabellec, syndicaliste territoriaux (47) ; Sébastien Le Dû, syndicaliste postier (86) ; Gérard Le Goff, syndicaliste métallurgie (67) ; Martine Lehemonet, syndicaliste enseignement (75) ; Marie-Paule Lemonnier, médecin hospitalier (75) ; Bernard Lempereur, syndicaliste enseignant (75) ; Luc Lestrade, syndicaliste Finances publiques (40) ; Gérard Luiggi, syndicaliste équipement (83) ; Lina Maillard, syndicaliste Sécurité sociale (75) ; Jean Markun, syndicaliste mines de fer (57) ; Jean-Charles Marquiset, syndicaliste services publics (91) ; Françoise Martinez, syndicaliste Finances (83) ; Christophe Massé, syndicaliste postier (86) ; Christian Mérot, syndicaliste métallurgie (49) ; Alain Millard, syndicaliste postier (93) ; Hugues Miller, syndicaliste, services publics (57) ; Christian Moreau, maire de Dannemoine, syndicaliste Éducation nationale (89) ; Lilian Mounard, , syndicaliste (93) ; Suno Navarro, syndicaliste énergie (31) ; Philippe Navarro, syndicaliste santé (69) ; François Nicolaï, syndicaliste nettoiement (75) ; Fabrice Olsak, syndicaliste Éducation nationale (33) ; Lionel Parlant, syndicaliste postier (69) ; Frédérique Paul, syndicaliste (86) ; Jean-Claude Perou, syndicaliste enseignement (86) ; Yan Perrotte, militant ouvrier (50) ; Michel Petrequin, syndicaliste enseignant (34) ; Hervé Picamelot, syndicaliste métallurgie (71) ; Pierre Piccarretta, syndicaliste métallurgie (38) ; Marc Pipeau, syndicaliste Culture (75) ; Jean Placenti, syndicaliste éducateur spécialisé (94) ; Emmanuel Poisson, syndicaliste (28) ; Fabrice Pone, syndicaliste métaux (39) ; Pascal Poyen, syndicaliste Finances publiques (71) ; Philippe Quintard, syndicaliste (92) ; Odile Raffini, syndicaliste (77) ; Daniel Rassat, syndicaliste enseignant (26) ; Michel Raynaud, syndicaliste travailleur de l’Etat (36) ; Jean-Louis Remande, syndicaliste cheminot (76) ; Bruno Ricque, syndicaliste santé (76) ; Alain Rivron, syndicaliste postier (30) ; Marie-Line Robinet, syndicaliste fonctionnaire (75) ; Sylvie Roger-Pons, syndicaliste (19) ; Alain Roques, syndicaliste recherche agronomique (45) ; Rose-May Rousseau, syndicaliste santé (94) ; Didier Rouze, syndicaliste énergie (31) ; Bernard Saas, syndicaliste chimie (71) ; Joachim Salaméro, syndicaliste (33) ; René Sale, syndicaliste hospitalier (13) ; Pascal Samouth, syndicaliste (43) ; Roger Sandri, syndicaliste ; Marc Sauterey, syndicaliste transports (91) ; Arsène Schmitt, syndicaliste travailleur frontalier (57) ; Philippe Selva, syndicaliste Finances publiques (75) ; Alain Serre, syndicaliste professionnels de vente (75) ; Christian Sourbès, maire de Lagrange (40) ; Sylvain Sourdillat, syndicaliste Finances publiques (40) ; Maurice Stobnicer, syndicaliste enseignant (93) ; Thierry Teruel, syndicaliste postier (93) ; Olivier Tomnet, syndicaliste métallurgie (92) ; Jacques Tournat, syndicaliste banque (86) ; James Treuil, syndicaliste services publics (86) ; Michel Trougnou, syndicaliste enseignement (86) ; Jean-Paul Villette, syndicaliste métallurgie (71) ; Vincent Vilpasteur, syndicaliste (95) ; Alain Vollaro, syndicaliste territoriaux (13) ; Laurent Weber, syndicaliste Sécurité sociale (92) ; Hubert Whitechurch, syndicaliste Enseignement supérieur (67) ; Dolores Wickramasinghe, syndicaliste postière (93) ; Pascal Zadikian, syndicaliste transports (93).

Réunion du 19 Juillet à 18H30 place de la Bourse

La réunion s'est tenue au restaurant dit "La tanière" sur le bord des quais, sur invitation de l'une des membres du Comité pour raison de pluie .
En raison de l'absence d'une grande partie de l'équipe pour des raisons majeures,
l'ordre du jour qui était la répétition de la scène sur le FMI n'a pu se tenir.

Cependant, à noter la venue de 2 nouvelles personnes souhaitant faire connaissance avec le groupe.
Tous deux étaient déjà présents parmi les indignés depuis le début des manifestations.

La réunion fut donc plus un échange autour des expériences des uns et des autres
ainsi que la présentation du Comité à ces deux personnes (buts, modes d'actions, actions en préparation ...).

Des échanges ont eu lieu sur différents modes d'actions et de sensibilisation : théâtre de rue, affichage, tractage, crieur public, partage entre collectifs, création de réseaux etc.

Les modes de théâtres de rue, théâtre de l'opprimé, théâtre de l'invisible ont été évoqués. Propositions de créer des phrases sous formes de questions afin de provoquer une réflexion, partir d'une évidence pour faire prendre conscience du décalage entre réalité et idées préconçues.

Propositions d'agir dans un quartier cible, mettre en place un mode permanent ou récurrent de contact, affichage et scènettes de rue afin de marquer les esprits et permettre les rencontres dans ce quartier.

Idée de créer un réseau afin de permettre des actions simultanées dans plusieurs points de la ville, assurer une présence, marquer les esprits et montrer que des gens bougent. Notion de messages récurrents ou de slogans invitant à se mobiliser.

Il a donc été question de faire des liens, d'aider d'autres collectifs ayant besoin d'aides ou de soutien pour une action précise et réciproquement. Solidarité !

Il fut question d'actions d'affichages "sauvages" dans les rues de Bordeaux, tant le besoin de faire passer un message ou une prise de conscience est pressenti par les personnes présentes.

Il est nécessaire de se revoir afin de fixer des modalités d'actions: qui, quoi, quand où et comment. Certains se sont proposés de réfléchir soit à des lieux soit à des slogans appropriés. Les lieux autorisés et ceux non autorisés ont été évoqués, sans pour autant éteindre la détermination à agir en connaissance des circonstances.

   Il a été précisé de créer des textes ou slogans ne faisant pas mention du Comité, parce que la prise de conscience ne concerne finalement pas qu'une action en particulier mais tout à chacun et aussi d'éviter d'impliquer directement le Comité dans des sanctions éventuelles.

Par ailleurs il a été question de créer des contacts, des relations avec d'autres groupes ou collectifs. Il a été suggéré de retourner vers les indignés afin de présenter les buts et les actions du Comité et de partager avec eux d'éventuelles coopérations. La seule objection retenue (sauf erreur de ma part) était le fait d'avoir préparé une action finalisée.

Une autre personne à proposé de participer à l'occupation d'un squat à but militant, afin de se retrouver dans un lieu précis et permettre le stockage de matériels et accessoires. Quelques objections sur le fait du squat comme n'étant pas le mode d'habitat précaire à promouvoir. Évocation de l'éventualité de sélections des personnes entrantes sur le squat par les organisateurs potentiels. Cette notion de sélection n'a pas retenu le sentiment de certains. Rappel par une autre personne de la proposition de squat comme mode alternatif de réunion et de rencontre et non uniquement comme but de logement. Sujet difficile à suivre ou retranscrire dans son intégralité tant les échanges ont été rapides et nombreux.

L'un des membres a proposé sont appartement pour la tenue de la prochaine réunion sur le sujet de l'affichage, auquel cas je propose la soirée du mercredi 27 juillet à partir de 19h00 pour ceux qui sont intéressés par ce mode d'action. Merci à chacun de se prononcer sur sa présence. Rendez-vous à cette heure sur la place de la Victoire avant de se rendre chez notre Hôte.

Une personne à suggéré la nécessité de revenir au mode d'échange par tour afin d'éviter des conversations croisées.

Pour finir, j'ajouterai le besoin de se retrouver autour de la scène que nous avons démarré en vous proposant de la jouer à la place de la Bourse mardi 26 juillet 19h00. Que ceux qui pensent être présents s'annoncent.

Un site pour le comité est en construction, avec quelques articles, merci de laisser vos commentaires
http://democratie-alternative.com
En espérant avoir retranscrit fidèlement les termes de cette réunion.

Rendez-vous

Mardi 26 Juillet à 19H (Place de la Bourse, scène d'action contre le FMI)

Mercredi 27 Juillet à 19H (Place de la Victoire, Commission Affichage) 

PS : pouvez-vous confirmer la veille des rendez-vous votre présence.
Merci.

Cordialement.

Le Comité de Gironde pour la Résistance

Facebook
http://www.facebook.com/groups/229561117073920

Petit compte rendu Festival Gemme la résistance

Nous avons répondu à l’invitation de ce festival le samedi 9 juillet.

Nous étions 6 du Comité de Gironde pour la Résistance à nous y rendre :

Après midi et soirée riche d’échanges et de contacts avec des groupes théâtraux, mais aussi avec un correspondant du journal Fakir.

A noter que beaucoup de personnes de ces groupes étaient venues se joindre au mouvement des indignés de Bordeaux, que ce soit à la place St Projet, La victoire, mais aussi St Michel. Déçues par le manque de « démocratie », du manque de revendications et d’aucune organisation concrète, permettant l’expression, c’est à regret qu’elles n’ont pas continuées.

Il y a eu, par ces faits, un échange large et enrichissant de part et d’autre. Une véritable « écoute » et une recherche moyens et de résultats pour « l’expression citoyenne ».

 Nous leurs avons fait part de notre projet de ce jour, concernant le tournage d’une vidéo, à 18h30, place de La Bourse. Un collectif de Bordeaux se proposent de nous rejoindre. Je leur joins, à cet effet, la proposition de scénario qui a été vu, en réunion, la semaine dernière.

Une troupe de théâtre n'est pas disponibles en juillet et en août, mais sont enthousiastes pour agir, avec nous, dès septembre.

 

COMPTE RENDU DE REUNION DU 05 JUILLET 2011

L’un des participants nous informait de l’impossibilité de 4 membres du Comité à pourvoir être présents ce soir.(ndr, en espérant que tout va pour le mieux pour eux).

1) Exposé de la proposition de scénario . 

Lecture à tous du scénario et explication du rôle des personnages.

Les personnes sont d’accord sur le sujet et la mise en scène.

Débat sur le fond : comment faire expliquer le fond du sujet exposé, les problèmes de la finance ?

Comment accrocher les gens qui n’ont pas ces connaissances ?

Proposition de trouver une vidéo ludique, pédagogique sur le web pour illustrer et s’en servir pour rédiger un tract synthétique afin de commenter aux spectateurs. 

Proposition de vidéo



L’idée à été suggérée de donner des liens de sites internet pour inviter les gens à regarder chez eux aussi.

Attention au risque de décalage entre la scène le les personnes spectatrices.

Que le sujet soit bien cadré, quels sont les enjeux, les dangers les protagonistes et les mécanismes.

Nécessité de faire confirmer par tous la date du 11 pour le tournage, rdv à partir de 18h30.

Question de la définition des rôles, qui veut faire quoi, et que les personnes apprennent le texte si possible.

Nous lançons donc l’appel à tous les membres du comité de se prononcer pour l’un ou l’autre des rôles.

Une personne se propose de filmer

Deux autres jouer un rôle, par encore défini celui qu’elles prendront.

Une troisième volontaire pour être autour de la scène et expliquer les mécanismes de la finance et les buts du comité.

Deux personnes se proposent de jouer le rôle de la Marianne si nécessaire.

Question de la qualité de filmage.

Savoir cadrer, faire des plans larges, éviter trop de va-et-viens, ne pas trembler. La tâche n’est pas aisée.

Penser à la question des costumes, que les personnages soient percutants, forcer le trait. Que ceux qui ont déjà l’idée de leur rôle pensent à s’équiper pour un costume typique.

3) Exposé de la proposition pour le festival Gemme la résistance à Sanguinet les 9-10 juillet
 http://40.agendaculturel.fr/festival/gemme-la-resistance.html

3 personnes se sont déjà proposées pour s’y rendre depuis Bordeaux mais sans véhicule. Demande de covoiturage auprès de ceux qui s’y rendraient avec leur propre moyen.

4) Evocation du covoiturage pour le 14 juillet à Paris. Un message est déjà posté sur facebook « Bordeaux Uncut ». Qui souhaite y participer ? 
http://www.facebook.com/event.php?eid=112213895538636


5) Exposé de l’offre d'une association pour un local, à réserver au nom du Comité.

6) Point important d’une stratégie de communication à été soulevé, nécessité de réunir le groupe sur ce sujet important qui permettrait de définir ensemble les types de messages ou de modes de communication à employer. Question soulevée autour de la création d’autres Comité en-dehors de la Gironde, de quelle manière pouvons-nous aider au mieux les contacts sans faire de l’intrusion ni en faisant à leur place.

Le Comité de Gironde pour la Résistance
http://www.facebook.com/home.php?sk=group_229561117073920

#Bordeaux Uncut : Manifeste pour une Assemblée Constituante

PRÉAMBULE

L'impérialisme frappe chaque jour les peuples et les institutions de tous pays. Il attaque, avec ses mercenaires de la finance, les travailleurs et les peuples, les soumettant à la guerre et à l'exploitation.


Pour résister, les travailleurs et les peuples se sont unis et ont répondu avec leurs armes citoyennes. Ils se sont révoltés en Tunisie, en Algérie, montrant la voie à suivre en exemple. Ils ont résisté aux réformes destructives des acquis et des droits, en manifestant par millions dans la rue, que ce soit en Espagne, au Portugal, en Grèce, en Irlande, en Angleterre, mais aussi en France.


Aujourd'hui de nouveaux mouvements prennent d'assauts les places des villes pour créer une nouvelle démocratie. Tous ces faits de résistance ont un point commun, le refus des indignés à se laisser faire. Tous disent NON à la dictature du FMI et à ses représentants que sont l'Union Européenne et la BCE. NON à l'exploitation ! NON à la guerre !


C'est pourquoi nous appelons tous les ouvriers, les artisans, les commerçants, les agriculteurs et les éleveurs, les artistes et intermittents du spectacle, les sans travail, les handicapés, les malades, les étudiants et lycéens, syndicalistes, militants politiques et de toutes luttes alternatives, ainsi que toutes formes d'associations à se regrouper et à créer des comités de résistance.


Ne déléguons pas aux autres ce que nous pouvons faire nous-mêmes !

Manifeste pour une Constituante

Parce que le socle social est menacé par l'impérialisme
Qui manipule, transforme le monde et ses règles pour le seul intérêt financier.
Parce que le modèle de leur dette servant les profits
jette chaque jour à la rue un flot croissant de personnes.
Parce que l'écart entre les salaires s'accélère,
qu'un SMIC ne suffit plus pour vivre, s'épanouir et élever ses enfants.
Parce que des lobbys et les multinationales épuisent et hypothèquent notre planète,
dictent leurs lois et nous interdisent l'expression de nos modes traditionnels et locaux de production et d'artisanat.
Parce que le consensus uniforme de consommation empêche l'expression des singularités, des véritables richesses de notre nation.
Parce que le système politique manipule les médias, trichent avec la justice
et ignore la perte de confiance des citoyens envers leurs dirigeants.

Pour toutes ces raisons, notre Liberté, notre Egalité et notre Fraternité sont en danger.

Pour cela, nous appelons le peuple français à se constituer en comité,
à collecter autour de lui toutes les doléances et œuvrer par tous les moyens afin de faire valoir ses droits.
Depuis tous les lieux de travail, d'instruction, de loisirs et d'association, au sein de chaque quartier, dans chaque ville, mettons en marche ce moteur politique et social pour imposer à l'Etat une Assemblée Constituante souveraine.
Une assemblée dont les membres, issus de toutes conditions auront, sur la base des doléances collectées, la charge de proposer, par voie référendaire, une nouvelle Constitution.
Agissons ! Prenons en main notre propre destinée

Érigeons notre constitution

Bordeaux Uncut
http://www.facebook.com/groups/197314423653957
http://www.fruncut.org/

Comité de Gironde pour la Résistance
http://comite-de-gironde-pour-la-resistance.blogspot.com
http://fr-fr.facebook.com/home.php?sk=group_229561117073920

Rejoignez la journée internationale d'actions contre les coupes budgétaires dans les services publics, contre les licenciements massifs, les esquiveurs d'impôts et les politiques qui laissent faire.

Avec tous les indignés de France, d'Espagne, de Grande-Bretagne, des États-Unis, d'Égypte, de Grèce, du Portugal et d'ailleurs, rejoignez la journée internationale d'actions contre les coupes budgétaires dans les services publics, contre les licenciements massifs, les esquiveurs d'impôts et les politiques qui laissent faire. Pour une démocratie réelle maintenant !
Contactez vos amis, vos Assemblées Populaires, les organisations de confiance autour de vous... et initions des actions directes, non-violentes et créatives partout où cela sera possible le 30 juin. Suivez le guide

750.000 travailleurs se sont déjà engagé à faire grève en Grande-Bretagne. 36.000 fonctionnaires de l'État du Missouri seront licenciés ce jour là aux USA. La Grèce continue d'être maintenue "tête sous l'eau" par l'Europe qui va voter le pacte pour l'€uro. La répression continue sur les indignés à Paris, à Lyon ou ailleurs... et à côté de ça, des indignés arrivent à faire des actions directes percutantes, en restant fondamentalement dans la non-violence, à Toulouse, Brest, Orléans... mais aussi en Catalogne, à Madrid, à Madison (USA), à Athènes...
Tout seul on va plus vite... mais ensemble on va plus loin.
C'est leur crise, c'est eux qui vont la payer !
http://www.j30strike.org/ - http://www.french-revolution.org/
#yeswecamp
#frenchrevolution
#fruncut

MIS À JOUR LE 29 JUIN:

1. Ajaccio, 10h, Carrefour, pour dénoncer le manque de moyens dans le secteur de la santé
2. Besançon, à 17h, rassemblement devant la préfecture pour dénoncer la fermeture de places d'accueil occupées par les roms.
3. Bordeaux, "première action Uncut à 19h30 place la victoire" : action spontanée au sujet des banques, http://www.facebook.com/event.php?eid=163703417030458
4. Caen, à 19h sur la pelouse du château face à St Pierre, pour une intrusion citoyenne : plus d'info ici http://www.facebook.com/event.php?eid=110345442391955
5. Quimper, 16h30 et 18h jusqu'à tard place St Corentin: http://www.indignonsnous-cornouaille.net/2011/06/journee-internationale-dactions-le-jeudi-30-juin-j30-a-quimper/
6. Monaco, de 14h à 18h, Parvis du Stade Louis II (7 Avenue des Castelans 98000). http://www.facebook.com/event.php?eid=220856694603014
7. Montpellier, de 09H30 à 11H30, Café Citoyen / petit déjeuner à la maison des chômeurs et citoyens solidaires.
8. Paris, 19h, place de la Bourse (métro La Bourse), Indignés de la Bastille se solidarisent avec la grève générale qui aura eu lieu ce jour au Royaume Uni contre les plans d'austérité (http://www.j30strike.org/). Venez avec casseroles, slogans, chansons, poèmes, mégaphones, banderoles, marqueurs, scotch, pancartes, cartons, instruments de musique...
9. Perpignan, rdv 11h au Pôle Emploi, Bd Kennedy : http://www.facebook.com/event.php?eid=227736500579927
10. Toulouse, rdv 15h allée F. Ponzan pour une nouvelle intrusion citoyenne sous la forme d'un nouveau nettoyage intempestif des banques !!

Source: http://www.fruncut.org/blog/j30-journee-internationale-dactions-directes-le-30-juin

Compte rendu Comité de Gironde pour la Résistance du 28/06‏

L’un des membres, qui attendait depuis plus de 30 minutes, l’arriver de tous, nous fait remarquer que nous devions TOUS être ponctuels.

Celle-ci a débuté par un article de Sud Ouest  sur la rénovation du quartier Saint Michel de Bordeaux. L’une des adhérentes à nos statuts, combat depuis le début, c'est-à-dire juillet 2007, lorsqu’il a été voté, à l’unanimité, la décision de rénover tous les quartiers de Bordeaux centre. A Saint Michel ce sont plusieurs milliers de personnes qui sont concernés. Les personnes vulnérables (malades, handicapés etc.) sont expulsés, en ce moment même, sans ménagement.

Puis discussions sur les 3 articles de Sud Ouest concernant « les Indignés de Bordeaux ». Article du 24/06 « La mairie réclame de la tenue », article du 14/06 « Les Indignés prêts à manifester », article du 27/06 « Les Indignés Béglo-Béglais ». Dans ce dernier article, il est écrit de la part des indignés « Nous nous sommes rendus compte que nous étions nombreux à avoir des valeurs communes ».

L’un des Indignés Résistants du comité est en contact avec le CNR Midi Pyrénées (Conseil National de la Résistance). Leur devise « Résister c’est créer, créer c’est résister ».

Un des autres membres est en contact avec Les Indignés de Belgique, qui nous saluent et nous soutiennent. Il nous informe que la pétition en ligne (http://www.convergencedesluttes.fr/petitions/index.php?petition=14) a reçu 3000 signatures en 8 jours !

Certains ne se connaissant pas, un tour de table de présentation c’est fait spontanément, où chacun a décrit rapidement, sa situation professionnelle, ses activités militantes (syndicales, politiques, mouvements alternatifs etc.), ainsi que ses attentes.

Ensuite, l’un d’entre nous prend la parole, pour expliquer aux nouveaux arrivants l’histoire de la création de ce comité, issu des « Indignés de la place de la victoire ». Ayant constaté, avec les membres fondateurs, que ce mouvement faisait tout pour empêcher de mettre en place les revendications, toute la colère, la véritable indignation, la révolte, qui s’exprimaient, nous avons décidé de Résister. Il précise que l’étape suivante est de se faire connaître, de diverses façons (tract, mise en scène etc.). Il faut par la participation, par la créativité, tous se mettre ensemble.

Concernant Les Indignés de Saint Michel :

L’un des membres fait remarquer que nous devons soutenir les indignés de Saint Michel. Ce à quoi, une autre, rétorque qu’elle se désolidarise de celui-ci car, bien qu’affirmant qu’il est en dehors des partis politiques, en dehors des syndicats, il n’empêche qu’ils s’associent avec une association politique du quartier, qui à, lui seul, le droit d’exprimer ses convictions, tous les lundis. Un autre fait remarqué qu’il y a aussi plein de jeunes qui viennent, qui ont des problèmes, et qui vivent de plus en plus dans la précarité. Un autre rapporte que les « Vrais Indignés » sont partis et qu’il ne reste que des marginaux. Un autre propose de les soutenirs sur des actions concrètes.

Proposition action du 30 juin

Suite à l’appel d’Uncut France, relayant celui Européen (http://www.fruncut.org/blog/j30-journee-internationale-dactions-directes-le-30-juin ), un débat a lieu. Compte tenu du peut de temps, il est préféré faire une autre action.

Proposition d’une vidéo, sur une place de Bordeaux, pour dénoncer le système financier, le FMI, pour nous faire connaître. Faire connaître notre logo, notre lieu, notre revendication essentielle « Une Assemblée Constituante Souveraine ».

Plusieurs idées de scénarios sont proposées. Il est convenu d’échanger par mail et téléphone afin de finaliser lors de la prochaine réunion du mardi 5 juillet à 19h30.

Soyons à l’heure au prochain rendez-vous !

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Le Comité de Gironde Pour la Résistance